.:Hara Haruna:.

Nom: Hara (= Prairie)

Prénom: Haruna (= légume du printemps)C'est pas pour ça qu'elle est une courge !!!

Age: 17 ans en apparence mais elle en a beaucoup plus.

Nationalité: Japonaise mais elle habitait en Angleterre. Elle va au japon que pour des grande occasion.

Orientation sexuel: Hétéro

Particularités: Haruna n'est pas un Akuma ordinaire. La plupart des personnes pense que pour la tuer il faut tirer une balle ou enfoncer une lame dans son cœur ou dans un autre point vitaux, et ben ils ont complètement faux ! Elle est comme un esprit, elle ne peut pas mourir comme les autres par contre elle peut être blesser mais elle ne mourra pas suite a ces blessures. Elle ne peut que mourir si personne ne pense a elle. Elle est comme un fantôme donc elle fait tout pour que personne ne l'oublie, elle fait tout pour qu'il y ait des trace sur son passage. Et puis peut importe si personne ne sait qui elle est mais si il y a une rumeur sur elle, elle ne peut pas mourir. Si vous voulez la tuer, il faudra trouver un bon moyen pour l'effacer de l'esprit des gens. Mais peut-être qu'il y a une autre moyen. Elle n'est pas comme tout les esprits car on peut la toucher et c'est même pour ça qu'elle peut être blessé. Son sang n'est pas comme celui des autres, car il est noir. Mais même si on peut la toucher, parfois pendant les combat où lorsqu'on est en fuite, elle peut devenir un corps sans consistance. Elle fait des illusions. ce qui est extraordinaire, c'est que quand elle touche quelqu'un, elle peut voir leur peur. C'est comme ça qu'elle peut facilement pousser quelqu'un jusqu'au suicide. Elle montre les cauchemar, les peurs des autres. Elle peut prendre la forme d'un humain qui est encore vivant ou d'une âme. Mais pour que ça marche il faut que se soit une des peurs d'un des passants ou qu'elle l'ai vu en réalité. Elle ne peut pas se transformer en n'importe quoi. Mais elle peut se faire vieillir comme se faire rajeunir.. C'est comme ça qu'elle ne fait que 17 ans alors qu'elle est encore plus vielle que les doyens d'un pays.Vu comme ça, on dirait qu'elle est imbattable mais ce n'est pas vrai. Même si elle ne peut pas mourir, elle peut être sellé dans un objet, elle peut tomber dans le coma.. Si vous ne savait pas comment faire pour qu'elle soit affaiblit ou qu'elle soit vaincu, vous avait quand lire les conte de fée, vous trouverez bien et si vous avez la flemme, faites comme si elle n'était qu'une ombre. Et rappelez vous, elle ne peux pas se battre librement dans la lumière.

Caractère: Haruna est un drôle de monstre: elle n'est pas du tout agressive, elle n'a pas un mauvais caractère, elle n'est pas solitaire, elle ne mange pas tellement d'humain enfin maintenant. Car avant, elle ne pouvait pas voir un humain sans vouloir le manger. Elle les détestait tous car ils ne faisaient que sourire tout au long de leur journée. Sans faire attention a ce qu'il peut leur arrivé. Ils ont presque tous des sourire idiots qui énervaient très facilement l'akuma. Mais là, elle est calme. Mais bon ça ne veut pas dire que c'est un bon chien bien dressé car même si elle peut manger autre chose que la chair humaine, quand elle s'énerve ou quand elle a trop faim, elle mange, elle mange tout ce qu'elle a sous la main. Ce qui veut dire des humains. Même si elle peut être gentille et calme, il lui faut quelques seconde pour redevenir le monstre qu'elle était avant. Donc elle est comme ceux qui ont une double personnalité: un jour elle peut être un gentil monstre, qui mange végétarien mais le lendemain, elle peut devenir un être en haut de la chaîne alimentaire. Comment on peut expliquer ça ? C'est parce qu'elle n'est pas devenu un akuma comme les autres. Elle n'est pas devenue un akuma suite a une dépression ou un trucs dans le genre. C'est que sa mère était un humaine mais son père était un akuma. Personne a compris par quel miracle sa mère ne s'est pas fait dévoré pas son père. Personne a compris comment une humaine a pu aimer un monstre. Donc elle était un monstre dès le début. Mais elle sait très bien que même si elle est la plus par du temps gentille, elle pourra être tuer par des personnes. Elle le sait et c'est même pour ça qu'elle est partit depuis longtemps de chez elle car comme ça, elle n'attira pas un chasseur vers son père. Et c'est comme ça qu'elle est devenue autonome et qu'elle est très forte au combat. En fait, elle est comme un chat. Elle peut très bien se débrouiller toute seule, mais elle aime aussi la compagnie. Elle est gentille de nature mais comme n'importe qui, quand elle s'énerve ça fait mal enfin... n'importe qui... les gens normaux peuvent foutre des baffe aux autres, mais elle, elle les bouffe donc...

Physique normal: Haruna est de taille moyenne: elle fait 1 mètre 64 et elle fait 45 kilos ce qui est aussi normal par rapport a sa taille. Donc il ne faut pas penser qu'elle est anorexique ou autre chose. Elle un la peau très pâle on dirait presque un cadavre surtout qu'elle n'arrive pas a bronzer. Mais ça lui donne un air de poupée avec ses longs cheveux brun et ses yeux marrons. Ses yeux sont relativement rond et elle a de longs cils. Et elle n'attache pas ses cheveux, elle met des fois des bandeau ou une fleur qui est accordait avec ses vêtements. Elle ne se maquille jamais car elle n'en voit pas l'intérêt vu qu'elle a un beau teint bien pâle et des longs cils donc elle en a pas besoin. Elle porte un peu de tout mais la plus part du temps c'est soit un kimono pour montrait qu'elle est japonaise et non anglaise, soit une robe noir avec un bandeau dans les cheveux. Donc soit elle s'habille avec un kimono avec plein de couleur sont des habits façon gothique lolita.. des choses qui se ressemble beaucoup n'est ce pas ? Donc en voyant cette grande différence de goût pour ses habits, on peut se dire que c'est quand elle est gentille qu'elle porte ses kimono, et quand elle a une grosse faim ou quand elle est de mauvaise humeur elle s'habille en noir. Donc elle ne prend pas n'importe quel habit pour aller "chasser". Donc on peut se dire qu'elle fait un peu attention même si c'est pour ne pas salir ses beaux kimono qu'elle porte des choses noirs, qu'elle fait attention a ce qu'elle met. Car elle avoue comme même que même si le sang a une belle couleur, cette couleur ne va certainement pas avec ses kimonos....enfin voila c'était une petite précision qui ne change pas grand chose.

Physique en monstre Son apparence ne change pas tellement. Enfin il y a comme même quelque petite chose qui change. Par exemple, ses ongles deviennent comme des griffes, sa peau devient encore plus pâle donc imaginez quelque chose de plus pâle qu'un mort ... impossible. Ses yeux virent légèrement au rouges sang et il deviennent aussi rouges quand elle est énervé si vous n'arrivez pas à savoir quand elle est énervé, ce détail pourrez vous aider quoique ça ne change pas vraiment car même si vous fuyez, elle va presque aussi vite que le son alors elle vous rattrapera très vite. Mais bon ça peut comme même aider... Et voici le dernier point : Elle a un tatouage qui apparait sur l'arrière du cou. Ce n'est pas un dessin mais c'est immortel écrit en kanji. Mais si elle est très énervé, au point de manger toute une population, des ailes poussent dans son dos. Une est noire et l'autre blanche. Peut-être que c'est parce qu'elle est un Akuma et son père et un ange... même si il était lui aussi un Akuma. Mais elle ne sait pas voler enfin peut-être qu'elle pourra voler plus tard mais elle s'en fout un peu. Sinon, ses cheveux deviennent très longs et noir.

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Code: Mais vous savez a qui vous parlez !!! Bande de chien galeux !! xD

Histoire:

Le commencement.

Japon ,Hokkaïdo, 1143.

Une personne attend dans le couloir d’un bâtiment . Il se demande si tout se passe bien . La pluie n’arrête pas de tomber, des nuées de goutte s’écrasèrent contre les vitre du bâtiment. Le jour venait de se levé quand l’homme qui attendait se leva après avoir entendu un petit cris. Des personnes habillés d’une certaines façon qu’on peut savoir de quelle profession ils sont, sortaient de la salle, le sourire a lèvre. Deux femme était rester après d’un lit qui était occupé par une autre femme. Elle avait dans la vingtaine et c’était pareil pour son époux, qui, s’approcha du lit. Il vit son enfant, sa petite fille. Le bébé était tout rose, fripé et débordant d’énergie. Les deux infirmière s’en allèrent pour laisser la petite famille seule. Le père prit l’enfant dans ses bras, pour lui, c’était une magnifique journée. Le soleil venait de se lever en faisait fuir la pluie et en bénissant son enfant. Quelle magnifique journée de printemps s’annonçait. Des année passèrent, j’ai eu 2 ans, tout le monde était au tour de moi. Tout le monde étaient gentil avec moi, j’étais heureuse. Le gâteau était devant moi, il ne m’intéressais pas. La seule chose que je regardait c’était ces lumières. Le soir, je suis partit avec mes parents, mais celui que j’aimais le plus, c’était mon père. Le seul mot que je savais prononcer c’était « papa ». Ma mère, elle, était plus distante que les autres comme si elle savait une chose que les autres ne savaient pas. Mon père doit le savoir, lui aussi, alors pourquoi ? Pourquoi n’était-il pas aussi distant que ma mère ? Mais tout ses questions je ne me les ai poser quand j’ai eu 4 ans. Avant je ne sentait que la tension qu’il y avait entre ma mère et moi. je ne suis jamais sortit de chez moi, la seule personne qui s’approcher de moi était mon père. Ma mère n’était qu’une inconnue, c’était comme si la moitié de moi ne me connaissait pas, et que moi je ne connaissais pas ma moitié. C’était un grand vide, elle ne m’avait jamais adresser un sourire mais je sentais comme même qu’elle m’aimait bien. Ça faisait 2 ans que je n’ai pas vu le reste ma famille. Comme si ils savaient la chose qui m’habite ou plutôt ce que je suis. Ils avaient peur que je fasse une énorme bêtise, ils avaient peur que le véritable moi vienne a la surface, que je devienne incontrôlable. C’est même pour ça que mes parents ont pris une décision.

La décision.

Japon, Hokkaïdo, 1147.

Mon père avait des connaissance en Angleterre. Ils lui avaient dit que deux maisons qui étaient inoccupée, puisque papa avait parler de notre problème avec maman et moi, ils voulaient bien nous aider. Mais je ne savais pas pourquoi on avait besoin d’aide, le seul problème dans notre famille c’est que maman et moi nous nous parlons pas. Mon père décida d’habiter les deux maisons et de faire des travaux pour qu’elles soient relié par un autre bâtiment. Ma mère me voyait de moins en moins, et tout ça depuis que j’ai commencé avoir très faim quand je la voyais. Je ne savais pas pourquoi je ressentais ce sentiment. Et je ne pouvais pas m’empêcher de vouloir la manger, de vouloir mordre dans sa chair, elle avait l’air tellement délicieuse. Mais papa était toujours la pour que je ne l’attaque pas, pour pas que je mange maman. Mais je trouvais ça un peu normal non ? De manger quand on a faim. Mais mon père ne voulait pas que je mange. Je ne comprenais pas pourquoi. J’étais trop petite pour comprendre que ce que je voulait faire faisait preuve de cannibalisme. Je suis rester la devant la porte, la porte de dehors, en me demandant pourquoi mes parents veulent que je reste a l’intérieur. Je ne suis pas un monstre. Si ? En tout cas je ne pense as que j’en suis un. Sinon a part mon envie de dévoré ma mère, rien n’a vraiment changé, je suis toujours aussi seule. Alors que j’ai 5 ans, je ne sais pas a quoi ressemble l’extérieur, ni a quoi ressemble des amis. Papa dit que ce sont des personnes qu’on adore mais moi je ne vois pas ce que ça peut être puisque la seule personne que j’adore c’est papa mais c’est un humain… a moins que ce sont un ami mais je ne vois pas la différence. C’est même pour ça que la veille de notre départ, papa a bien voulu m’expliquer ce que c’était un ami. Je me demande si j’en aurai un. Le lendemain, maman a pris son cheval et papa et moi un autre. Elle partit au galop, on ne la voyait déjà plus. C’était comme si il ne voulait pas qu’on se voit, qu’on puisse s’échanger quelque mots, même si mon dictionnaire n’est pas aussi élaborer que celui de maman. Quand on fut arriver près de l’eau, j’ai pu revoir ma mère, elle était toujours aussi distante, elle ne voulait même pas s’approcher de mon père. On s’avancèrent vers notre bateau pour pouvoir aller dans les autre continents asiatiques. Moi et mon père nous faisions très attention de ne bousculer personne sur le bateau . Enfin c’était plutôt mon père qui ne voulait pas que je sois tentée de me jeter sur quelqu’un car il savait que j’ai faim. Il m’a même acheter un gâteau mais j’avais toujours faim. Une fois que le bateau était sortit du port, j’étais tout devant, les vagues m ‘éclaboussaient maman était assis derrière nous, papa faisait bien attention que je ne sois pas a côté de quelqu’un. C’était comme si il voulait me protéger de quelque chose ou de quelqu’un. Mais je ne me doutait pas que c’était de moi qu’il voulait me protéger. Bien sur, il faisait aussi attention que je ne tombe pas dans l’eau . Ça faisait déjà quelques minutes que le bateau était partit et je voulais déjà rentrer chez moi, c’était comme si je pouvais mourir si je n’était pas sur la terre ferme.

Est-ce qu’on est bientôt arrivé ?

Dans le bateau pour la Chine, 1148.

J ‘étais toujours sur le devant du bateau, je me sentait mal et la seule chose que je pouvais faire c’était de m’agripper a la poutre qui était devant moi car papa ne veut pas que je bouge pendant qu’il n’est pas là. Je regardais l’horizon, on n’allait pas si vite. Même des mouettes nous avaient dépassées, qu’est ce que ça pouvait être long. Puis j’entendit des ronflement qui venait de derrière. Il me mit a quatre patte pour ne pas tomber et marcha comme ça au bout d’un moment j’ai pu voir la personne qui était en train de dormir. Je fit un petit sourire en pensant a la tête qu’il fera si quand il se réveillera, il tombe nez a nez avec une araignée. Pourquoi une araignée ? Elle ne le savait même pas. Mais a la place de chercher une araignée dans tout le bateau, elle pris un du charbon et commença a dessiner sur le visage du passager. Elle aurait bien voulu qu’il ne se réveille qu’a la fin du voyage mais il se réveilla alors qu’elle n’avait pas encore fini son dessin. L’adulte cria sur moi tandis que mon père arriva. Mon père s’excusa a ma place auprès de la personne. Cette dernière se rendormit. Puis mon père s’assit a côté de moi, il avait l’ai d’être énervé, j’avais peur. Alors jusqu'à la fin de la traversée j’étais devant la cabine du capitaine, en train de me demandait si mon père allait bientôt se calmer. J’aurais bien voulu que cette farce n’ait pas tourné comme ça, j’aurais préféré de ne pas avoir fait cette farce qui n’a était qu’un échec. Je m’ennuyais et mon père avait renforcer la protection. Je tapotais la vitre de la cabine mais mon père m’avait dis d’arrêter. Qu’est ce que je pouvais faire après ? Qu’est ce que e pourrais faire pour m’occuper ? J’eus même pas besoin d’y réfléchir. Mon corps était devenue plus lourd, je m’endormit a mon tour. J’espérais que personne n’allait me faire une farce. Car sinon je me sentais humilié et je maudirait le farceur. Peut-être que ma faim me contrôlera et je ferai une énorme bêtise.

Encore et toujours enfermée.

Chine, Hong kong, 1148

Enfin arrivée ! ! ! J’étais toute contente, mon père avait même du mal a me retenir de courir partout. On était sortit du port, nous attendions que ma mère ait acheté deux cheval. Je m’assit derrière mon père, on n’avait rien a manger et il fallait des années pour arriver en Angleterre. Et même, la plupart des personnes ne savaient pas que cette île existe. C’était par hasard, avant que je sois naît, mon père était sur un bateau et il est arrivé sur une île. C’était un ami a lui qui l’a baptisé Angleterre. Donc les chevaux on commençait a galoper. Nous faisions attention de ne pas bousculer quelqu’un. Au début, je trouver ça amusant d’être sur un cheval mais au bout d’un moment, c’était ennuyeux comme dans le bateau. Mais pendant les première journée je fit plusieurs découverte et puis j’étais dehors. C’était comme si j’étais sortit de ma prison, j’étais contente de changer de maison. Cette nuit, nous allons dans une église qui nous avait accueillie les bras ouvert. Des femmes voulaient s’occuper de moi mais mon père n’a pas voulu. Elles se disaient qu’il était trop protecteur et que même la mère de l’enfant n’avait même pas le droit de l’approcher. On nous avez offert un repas bien appétissant mais ma faim était toujours là. Je me demandais si elle allait disparaître un jour. Puis il était leur de se coucher, je n’arrivais pas a dormir, je suis aller me balader dans l’église a la recherche de nourriture puis quelqu’un mis sa main sur moi, je sursauta. Puis je me retourna, c’était le prêtre, il m’ordonna d’aller dans le dortoir. Le lendemain nous avons repris la route. Je n’avais pas fermé l’œil de la nuit. Des années passèrent et nous arrivions en France, ils étaient toujours aussi accueillant les français ! J’avais entendu par mon père que les français était très désagréable. Et c’était vrai, je ne voulais pas rester pendant des années ici. Je voulais vite aller en Angleterre surtout que maintenant tout le monde connaissait l’existence de cette île. J’avais maintenant 15 ans. Et la faim qui m’habitais quand j’avais 5 ans était toujours présente. J’avais toujours l’impression de rêver quand j’étais dehors. Mon père était encore plus protecteur que quand j’étais plus petite. On s’était arrêté en France pendant 1 mois, et on me surnom « l’ange de la cage dorée ». Je ne trouvais pas vraiment que j’avais l’air d’un ange mais l’histoire de la cage était un peu vrai car même si j’était dehors, j’avais jamais eu de liberté. A chaque fois j’étais suivi par mon père et c’est pour ça que personne ne voulais me parler car c’était comme si mon père allé tuer tout ceux qui voulaient m’approcher. C’était aussi pour ça qu’on m’appelait parfois « Ice doll » mais ça allait moins avec mon caractère. Je n’étais pas froide, c’était mon père. J’étais toujours souriante, une fleure dans les cheveux. Personne ne m’avais vu énervé ou triste pour la plupart des personnes je suis la gaieté même. Je trouvais que la France n’était pas aussi désagréable que ça. C’était juste que je ne connaissais pas vraiment ce pays. Il y a bien sûr des personne qui se sentent supérieur aux autres mais c’est aussi bien que le Japon.

Dernière étape avant l’arrivée.

France, Lille, 1158.

Papa avait enfin trouver notre bateau. On vendit les chevaux a celui qui nous les prenait le plus cher. Et on commença a porter nos affaire sur le pont. Comme d’habitude, je me mis tout devant et mon père était a côté de moi ma mère était comme la dernière fois, derrière. J’étais toute excitée, c’était la seule chose qui avait changé par rapport a la dernière fois. Les vagues ne pouvaient rien faire contre le bateau qui était plus grand que celui qu’on avait pris au Japon. Qu’est ce que mon pays natal pouvais me manquer. Mais je n’y pouvais rien, mon père voulait aller en Angleterre mais je ne savais même pas la raison. Et je ne suis ais rien demandé, je ne fais que suivre. Je ne met pas d’objection, je suis un mouton, une brebis qui ne fait que suivre le chien et le berger. Peu importe la raison car maintenant je suis heureuse et rien ne pourra m’empêcher de sourire bien que ma faim devient vraiment un supplice mais pourquoi est ce que je suis comme ça ! ! Quand on fut arriver, nous avons chercher un cheval et nous nous dirigeons vers la capitale, Londres. Une fois arrivée, j’eus un sourire et je couru jusqu’a la maison. Mon père me suivit et ma mère aussi mais ce qui était bizarre c’était qu’il y avait deux porte. Mon père et moi nous nous sommes dirigé vers une et ma mère vers l’autre. Je la regardais puis je rentra dans la maison. Mon père nous montra une vitre ou on pouvait se faire des signes, ma mère et moi. Mais ça ne servait a rien, elle était une inconnue pour moi comme moi pour elle. On ne s’est jamais parlé, je n’ai jamais prononcé le mot « maman ». Je me demande qu’est ce que ça fait d’en avoir une. Est-ce que c’est bien ? Je me le demande vraiment. Je me dirigea vers ma chambre, mon père me suivit. Il avait l’air d’être décider de faire quelque chose.

La vérité.

Angleterre, Londres, 1158

Il ferma la porte derrière lui et s’assit a côté de moi sur mon lit. Je lui souriais comme toujours mais lui il avait un air sérieux. Il prit sa respiration puis me dit :

-Est-ce que tu sais pourquoi on a déménagé ?

Je fit un non de la tête.

-Tu sais, depuis ta naissance je sais que tu n’es pas comme les autres

-Je suis ta fille c’est pour ça

-Oui mais tu n’es pas humaine comme moi je ne suis pas humain. Ta mère l’ai mais nous non.

J’avais l’air choqué, mon père resta détendu. Il ne bougea pas même pas la tête pour me regarder si j’allais bien, si je n’avais pas blêmis ou autre chose .

-Je t’explique tout alors ne m’interromps pas, tu me poseras des questions après….
Nous somme des Akuma, très peu de personne sommes comme nous, mais je pense que plusieurs Akuma vont s’ajouter a nous. Les Akuma ne peuvent faire taire leur faim qu’en mangea de la chair humaine. On devient un akuma suite a une dépression ou par d’autre moyen comme toi, tu es un Akuma car moi j’en suis un. Et j’en suis vraiment désolé. Mais il y a une différence entre nous : je peux voir ta mère sans avoir envie de la manger. C’est parce qu’on a trouver un pendentif, j’ai versé une goutte de sang dessus et maintenant, ta mère est protégé contre moi quand j’ai envie de la manger. Mais ça ne marche que pour un Akuma. Donc tu me comprends pourquoi je ne veux pas que vous vous voyiez ? Je n’ai pas du tout envie que tu tues Miri.

-C’est donc comme ça qu’elle s’appelle maman ?

-Oui.

-Tu sais je ne suis pas en colère contre toi, ce n’est pas ta faute que je sois un akuma.

Je sourit comme toujours. Je me levais de mon lit et regarda mon père.

Histoire (2ème partie):

Seule, pour toujours ?

Angleterre, Londres, 1159

Un an est passer après notre arrivé, je ne suis pas sortit pendant un an. Je m’ennuyais, je n’avais rien a faire a part coudre. Mais les journée était vraiment trop longue. J’essayais a tout pris quelque chose pour m’occuper mais en vain. Au bout d’un moment, je me suis assis sur une chaise et j’ai regardé par la fenêtre. Je ne pouvais pas sortir mais au moins je pouvais voir qu’est ce qui se passer dehors. Comme d’habitude, la vielle faisait sa promenade, je lui souriait et elle me rendis mon sourire. Puis les enfants revinrent du champs, ils étaient plein de terre, on pouvait sentir d’ici. Ma mère rentra dans l’autre bâtiment avec mon père. Je me demandais de quoi ils parlaient, ils avaient l’air heureux. Miri. Est-ce que tu pense a moi ? Est-ce que toi aussi tu me regardes de loin ? Est-ce que tu m’aimes même si on ne s’est jamais parlé ? Et, est-ce qu’un jour on pourra se comporter comme une mère et une fille ? Hein Miri . Est-ce que tu pourrais me répondre un jours ? Est-ce que tu me sourira ?

Une énorme bêtise.

Angleterre, Londres, 1159

Quelque mois plus tard, j’étais encore une fois a la fenêtre je me demandais ce qui allais se passé aujourd’hui. La vielle n’était pas passé car il pleuvait. Qu’est ce que je pouvais détesté la pluie. C’était comme si le soleil pleurais, j’étais triste pour lui. Je me mis a pleurais, mon ventre me faisais terriblement mal, j’avais tellement faim . Il n’y avait pas de nourriture car mon père n’en avait pas acheter hier. Je ne pouvais rien manger. Et en plus je me sentait terriblement seule. Par je ne sais quel démon, je me mis a crier. Ma mère était dans la maison d’à côté. Elle avait sûrement entendu mes cris. Et c’est ce que je voulais. J’allais dans ma chambre qui était toute noire, j’avais pas allumer ma bougie. Ma mère entra dans ma chambre en courant, elle avait eu peur. Elle se demandait ce que j’avais. Je me suis levé de mon lit car je m’étais affalé dessus en attendant que ma mère arrive. Elle vit mes yeux rouge. Elle commença a trembler, j’avais sorti mes griffes, j’étais prête a attaqué. Puis Miri recula, elle blêmit en me voyant me métamorphoser. Je peux avouer que j’avais du mal a bouger a cause de mes grande ailes et de mes longs cheveux, je ne pouvais pas faire un pas sans marcher dessus. Mais ce n’est pas grave. Ma mère prit un vase qu’on avait acheter en Chine et le lança sur moi. Puis j’entendis une porte s’ouvrit brutalement. Je n’avais plus beaucoup de temps, je me jeta sur ma mère mais ce n’est pas le goût de son sang que j’avais dans la bouche mais de celui de mon père. Je recula rapidement. Il avait les cheveux blanc et les yeux bleu, il était d’une beauté qui était presque effrayante. Ses ailes blanche était dans son dos. Je me demandais comment ça se fait qu’un ange avait envie de manger de la chair humaine. Ce ne sont pas des personnes du côté des humains ? Je voulais posé cette question a mon père mais je ne l’ai pas fait. Il m’aurait répondu avec des coups car même si son visage n’était pas habité par une expression de colère, je pouvais ressentir que j’étais en danger. Mon père commença a me taper et je me laisser faire, je voulais oublier, oublier ce que je voulais faire a ma mère. Désolé maman. Je ne sais vraiment pas ce qui m’a pris. Ces deux phrase habitaient dans mon esprit. Puis Miri commença a pleurer et a crier. Elle ne voulait pas que mon père me tue. Moi je n’avais pas tout de suite compris que mon père voulait me tuer c’est grâce a ma mère que je l’ai su. Grâce aux phrases qu’elle criait. Je repris forme humaine, j’étais couverte de sang, je n’ai même plus la force de me relever. Mon père arrêta et sortit de la pièce avec ma mère. Quand je fus rétablie, j’avais décidé de partir. Je ne voulais pas que ça recommence et en plus si j’essayais une deuxième fois de manger ma mère, cette fois-ci mon père me tuera. C’est donc comme ça que j’ai pris un des trois chevaux et m’en allais au galop. J’avais vu que mon père m’avais vu partir, il était a la fenêtre. Il n’a même pas essayé de me retenir . J’aurais préféré que ça ne se passe pas comme ça. Mais au moins, je sais que maman penser a moi, même si on ne se regardait de loin. Je m’éloignais, le sourire au lèvre et les yeux en pleurs.

Fuite

Angleterre, ville inconnue, 1159

Mon cheval galopait vers le port, je voulais aller au Japon, mon pays natal me manquer terriblement. J’avais toujours faim mais je repensais a la tête de mes parents, je me rappelais de cette journée quand je songeais de dévorer un passant. Je demandais la route sans arrêt, je ne savais plus où j’étais. Certaines personnes me demandaient comment ça se faisait qu’une personne comme moi était seule. C’est vrai que même si j’avais une cape noir, on pouvais voir mon visage quand je me penchais pour entendre les indications des personnes. Mais même si je suis jeune, je voulais faire ce voyage. Pour que mes parents aient des jours tranquilles avant leur mort. Car mes parents savent qu’ils ne vont plus vivre pendant très longtemps. Même moi je devrai être marié, mais bon qui voudrais un monstre comme moi ? Personne. C’est donc comme ça que j’allais en direction du Japon.

Vivre pour toujours ?

Quelque part en Mongolie, 1168

J’étais malade, je sens ma mort approcher. Je me demandais si mes parents on déjà ressentit une chose pareil. Mais je pensais que oui. Mon cheval est mort de fatigue pendant la nuit, j’étais triste mais puisque c’était de la viande, je me disais que je pouvais le manger. Mais je n’y arrivais pas pourtant ça faisait des mois que je n’avais pas manger. J’emmenai le cadavre dans sous un arbre, dans la plaine. Ici c’est le pays du cheval non ? Alors je ne le mangerai pas. Je fit une croix avec des bout de bois puis je commençais a m’enfoncer dans la plaine. Je me demandais combien de temps j’allais encore vivre. Puis au bout d’un moment, mon corps devint insoutenable. Je m’écroulais sur l’herbe, je savais pourquoi. C’était la fin. Je ne cherchais même pas a me délivrais de la mort. J’attendais patiemment de partir de ce monde. Mes yeux se fermèrent. Mais a la place de voir du noir, je vit du blanc. Je ne savais pas pourquoi. Est ce qu’ils voulaient m’envoyer au paradis ? Est ce que ce n’est pas la fin ? Je vis mas courte vie défilé devant moi. J’aurais vraiment préféré ne pas déménager. J’aurais préféré rester dans ma cage, loin du monde extérieur. Non en fait j’aurais préféré ne jamais vivre. Je vis quelqu’un devant moi, je ne pouvais pas dire qui c’était puisque je ne voyais que sa silhouette. Mais tout ce que je pouvais dire c’était que la personne qui était devant moi était une femme. Est-ce que c’était toi Miri ? Est-ce que tu es la pour me sauver ? Est-ce que tu m’as pardonnée ? Ses questions seront sans réponses. Tout d’un coup, j’ai eu très mal , mal a la nuque, je ne savais pas pourquoi mais ça me brûlait.

-Ne t’inquiète pas, je ne fais que poser un sceau.

Je levais ma tête avec la silhouette. Quelle voix douce, et mélodieuse. On pourrait croire que c’était un ange mais ça ne pouvais pas être le cas, car si je devais voir un ange ça serait au paradis et non en enfer. Et puis mon ère était un ange non ? Alors je me demandais si ce n’était pas aussi un amateur de chair. Puis j’entendis un rire, toujours aussi mélodieux. Puis je pus voir le visage de la personne. J’était étonnée. C’était moi ! Mais qu’est ce que ça voulait dire ? Comment je pouvais être en deux fois ? C’est tout a fait impossible.

-Pourquoi tu ne veux pas croire que je suis toi ?

-…

-Pourtant c’est ce que je suis. Je suis toi, je suis ta moitié. Tu ne te rappelles pas de tes paroles ? « Comme si la moitié de moi ne me connaissait pas, et que moi je ne connaissais pas ma moitié ». Tu ne veux pas t’en rappeler ?

Elle souriait. Mais moi je ne comprenais pas pourquoi…

-Je vis alors que je n’est qu’une moitié de moi ?

Comment ça se faisait ! ! Comment elle a pu finir ma phrase ! ! Elle lit dans les pensés ? Elle, elle continuait a rire en me voyant aussi surprise et déstabilisé.

-Pour t’aider, je suis comme une deuxième personnalité. T’es l’humaine, la partie blanche et moi je suis la partie noire, la maudite. Ça te vas ?

-Comment ça maudite ? Et comment ça humaine ? Je ne suis pas humaine ! Je suis un monstre.

-Et tu ne seras pas la seule.

-Hein ?

-D’autres Akuma vont apparaître pas tout de suite mais plus tard , dans une décennie.

-Mais je serai morte alors pourquoi me dire tout ça ? En fait je suis déjà morte …

-Ce n’est pas faux mais ce n’est pas vrai non plus. L’humaine qui est en toi est morte, maintenant tu n’es plus qu’un monstre. Bien sûr tu aura toujours ta gentillesse et tout, mais tu ne mourras pas. En fin tu ne pourras pas mourir tant que tout le monde ne t’ai pas oublié. Alors j’espère que personne ne va t’oublier.

-Quoi ! ! !

La silhouette n’était plus là, elle ne pouvait pas me répondre, elle m’a laissé alors que je ne comprenais plus rien. Suis-je morte ou non ? Je me réveillais comme si ce n’était qu’un mauvais rêve. Et je repris ma route après avoir trouver un nouveau cheval.

Quand vais-je mourir ?

Japon, Tokyo, 1990

J’avais compris pourquoi elle m’a dit que l’humanité qui était en moi était mort. Je suis morte mais je suis encore là devant ma fenêtre. Les journée devint de plus en plus longues et le pire c’est que ça allait reste de même pendant très longtemps. Je me demande vraiment quand tout le monde va m’oublier. Mais ce qui est bien c’est que j’ai pu voir une technologie que mes parents n’ont pas vu mais je suis toujours aussi seul. Pourquoi la science ne peut pas inventer des amis ? Comme ça je ne serai pas la a m’ennuyer pendant tout la journée. Mais j’ai peur de sortir, de vouloir manger quelqu’un. C’est même pour ça que je sort que la nuit car le soleil me fait vraiment mal aux yeux. Je voudrais que tout les jour se passent sous la pluie alors que quand l’humaine qui était en moi était vivante, elle ne voulais pas qu’il pleuve. Je n’étais plus la même, mais goût avaient changer. Mais pourquoi la lumière m’ai si désagréable ? Je ne suis pas une ombre que je sache.

C’est donc comme ça que les pages de mon journal étaient remplis. Plus je les lis plus j’ai envie de savoir quand est ce que la mort viendra me prendre car plus je les lis plus je vois que ma vie n’a servie a rien. Je n’ai fait que voyager et m’ennuyer. Je n’ai fait que de me plaindre car j’avais faim.. Maintenant je vis comme les autre e jour mais la nuit une autre moi surgit. Alors si vous n’avez pas peur de moi, veuillez entrer, je n’ai rien contre la compagnie. Si vous n’avez pas peur d’un fantôme, d’un monstre, d’un maudit, d’un esprit alors ne restez pas dehors, ne soyez pas égoïste et apprenez moi ce qu’est le mot « amitié ».

Test rp:

Rumeur rime avec pleurs

Japon, Tokyo, 2060

-Papi ! Papi ! Raconte-moi encore une histoire !

-Ok, ok, va t’allonger dans ton lit mais c’est la dernière d’accord ?

Un enfant hocha la tête et sauta sur son lit, il était tout excité de savoir quelle histoire son grand-père allait lui raconter. Le grand-père n’eut même pas besoin d’avoir un livre car il connaissait par cœur l’histoire qu’il allait conter a son petit fils. En fait, le grand-père était un des personnages de l’histoire mais il ne voulait pas le dire à l’enfant. Pour une raison inconnue. Peut-être parce qu’il ne voulait pas qu’il fasse la même chose que lui.
L’histoire ce déroulé au printemps, les arbres étaient en fleurs, toute la ville était resplendissante. Des enfants jouaient et sont passer devant une maison. Une maison tout a fait normal. Il y avait une fille a la fenêtre, elle avait l’air triste, elle avait l’air de s’ennuyer. Mais les enfants ne firent pas tellement attention a elle. Le soir, un enfant lança par mégarde le ballon dans la propriété de la jeune fille. Il fit signe a ses amis de rentrer et qu’il sera là le lendemain et qu’il les attendrait pour recommencer a jouer. Les autres enfants s’en allèrent laissant l’autre tout seul. Il alla vers le portail de la maison, et sonna. Il ne voulait pas rentrer dans le jardin sans l’accord de la personne qui habite ici, car si elle le surprenait dans son jardin, il aurait des problèmes. La porte de la maison s’ouvrit et une jeune fille apparue. L’enfant ne pu voir son visage car les cheveux de la fille le cachaient et puis les lampadaire n’était pas encore allumer donc il pouvait voir que la silhouette de la fille. Même si de la lumière s’échapper de la porte de la demeure. Elle marchait lentement comme si il ne fallait absolument pas faire du bruit. Puis elle ouvrit le portail et fit geste au garçon de rentrer. Il pensait qu’elle avait ramassé la balle mais en vérité, le ballon était toujours dehors mais le garçon ne le voyait pas…. Le lendemain, tout le monde était au rendez-vous sauf le garçon qui était allé cherché le ballon. Les enfants allèrent voir la maison de plus près, il n’y avait plus le ballon. Est-ce qu’il était rentré chez lui ? Ils se dirigèrent vers l’appartement de leur ami et c’est seulement le meilleur ami qui est rentré dans l’appartement. Il vit son ami dans son lit, mort de peur, il ne parlait pas, il n’arrêtait pas de bouger les yeux dans tout les sens comme si il voulait vérifié que quelqu’un ne soit pas là. Comme si il fuyait quelque chose. Puis quand l’ami s’assit près du garçon, ce dernier commença a crier, il s’agitait. La mère fit geste a l’enfant de partir et elle entra dans la chambre de son fils. Le meilleur ami était choqué, son ami était comme mort, c’était comme c’était la peur qui le faisait vivre. Il se demandait si son ami n’était pas devenu fou. Il alla vers les autres et raconta ce qui s’était passé. Ils décidèrent tous d’aller dans la maison de la jeune fille. Mais ils n’eurent pas la même chance que leur ami. Ils étaient entré par effraction dans la maison, la jeune fille était a la fenêtre comme toujours, elle les avaient vu mais elle les avaient laissé entrer pourquoi ? Elle se leva et en quelque minutes, toute les têtes des enfants étaient par terre. Puis elle se rassit sur sa chaise. C’est comme ça que plusieurs personnes ont disparu…
L’enfant n’arrivait pas a dormir, il avait peur qu’il devienne fou pendant son sommeil. Le grand-père sourit et mis sa main sur le crâne de l’enfant.

-Ne t’inquiètes pas, ce n’est qu’une histoire

il savait que ce qu’il venait de dire était complètement faux mais il ne voulait pas que son petit-fils n’arrive pas a dormir a cause de lui. Surtout que si il ne passait pas une bon nuit, la grand-mère criera sur le grand-père. Il sortit donc de la pièce pour que l’enfant dorme et alla a la fenêtre. Il regarda la maison de l’histoire. Il avait 10 ans quand l’histoire a eu lieu. Il s’était assis devant la fenêtre en attendant que ses parents s’arrêtaient de se disputer . Il avait vu des chose qu’il n’avait pas raconté a son petit-fils. Des choses qui pourrais lui faire éveiller des soupçons. C’était même depuis le jour de la disparition de la bande d’enfants qu’il avait une rumeur sur cette maison où plutôt sur celle qui y vivait. Et un jour, alors qu’il rentrait de l’école, le petit-fils entendit des personnes parler d’une certaine maison. Une maison étrange ou plutôt hanté. Il alla vers les enfant qui en parler.